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Je trouve superbe que le terme libéral-communiste apparaisse à plusieurs reprises, mais il me semble essentiel de mieux le cadré encore, par un encadré par exemple. D'autre part, le terme a été assez peu utilisé, mis à part sur technikart en 2004...
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Donc c'est peut-être à supprimé, cette notion de libéral communisme...
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ENFIN, il faut préciser que le terme libéral-communisme est aussi utilisé par d'autres groupes de chercheurs académiques pour désigner une vision politique sans aucun lien avec le numérique, donc il y a probablement trop de risques de confusion pour laisser le terme ne serait-ce qu'un fois dans cet ouvrage... tant pis, à sucrer (toute référence à libéral-communisme)
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[[Utilisateur:Pryska ducoeurjoly|Pryska]] ([[Discussion utilisateur:Pryska ducoeurjoly|discussion]]) 6 décembre 2012 à 18:00 (CET)
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--[[Utilisateur:Pryska ducoeurjoly|Pryska]] ([[Discussion utilisateur:Pryska ducoeurjoly|discussion]]) 22 novembre 2012 à 11:44 (CET)
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http://www.lafauteadiderot.net/La-richesse-revolutionnaire
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[22/11/2012 12:07:15] Théo Bondolfi: Le développement générique de la richesse financière sur la planète, et de ses abus, ont conduit les décideurs a ne prendre en compte que la dimension économique de l’activité humaine et sa monétarisation, ce que l’Inde traditionnelle désigne comme le règne de la caste des commerçants. En ignorant les activités non monétaires, ils ont omis une part essentielle de la richesse produite par les êtres humains, les connaissances. Les activités qui ne se transforment pas en monnaies comptables sont multiples, créatrices, insaisissables et particulièrement révolutionnaires nous disent Heidi et Alvin Toffler.
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[22/11/2012 12:07:41] Théo Bondolfi: Face à cette mutation, à ce saut sociétal, les gouvernements s’avèrent pauvres, intellectuellement et stratégiquement, peu visionnaires, peu créatifs. L’actualité de la crise est une démonstration éclatante de leurs faiblesses. C’est donc du terrain, et notamment du terrain virtuel, grand agitateur d’intelligences et de connaissances, que peuvent apparaître de nouvelles lignes révolutionnaires au milieu des nouvelles tectoniques géopolotiques. Heidi et Alvin Toffler proposent le concept d’économie « prosommatrice » caractérisée par cette activité ni rémunérée ni quantifiée, non altruiste cependant, mais génératrice de tous les changements. La richesse révolutionnaire se traduit aujourd’hui par un magma peu lisible, envahissant, angoissant parfois, dans lequel les solutions pour une autre humanité, qui « briserait le noyau de la pauvreté » ne sont qu’esquissées. Heidi et Alvin Toffler avertissent : « Ce qui a bien marché, ne marchera pas. ». L’humanité qui vient, serait donc une humanité d’inventeurs, de poètes, et notamment de poètes technologiques, ou ne serait pas ?
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--[[Utilisateur:Pryska ducoeurjoly|Pryska]] ([[Discussion utilisateur:Pryska ducoeurjoly|discussion]]) 23 novembre 2012 à 17:34 (CET)
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*peut-être expliciter plus en quoi Google, Microsoft, etc dont des « esclavagistes », et expliquer ce que serait l'équivalent des pirates aujourd’hui, et en quoi ils sont différents des libérateurs de l'esprit tels que GNU, la GPL, etc.
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Demander à Raphaël de rajouter des éléments à propos des points communs évoqués dans cette phrase:
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«  Elle est appliquée par les fondateurs symboles de grandes entreprises comme Bill Gates de Microsoft, Steve Jobs d'Apple, Larry Ellison d'Oracle, Amazon, Yahoo et bien-entendu Google. Ils sont rejoints par des magnats des médias comme Berlusconi, Dassault, Mastoc. Leurs points communs: les stratégies commerciales basées sur le rachat ou la destruction des concurrences, la surveillance, et souvent les amendes des autorités de lutte contre le monopole et autre méthode de concurrence déloyale. »
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--[[Utilisateur:Nora|Nora]] 13 septembre 2011 à 07:54 (UTC)

Version actuelle datée du 6 décembre 2012 à 19:00

commentaire de théo à étudier : Je trouve superbe que le terme libéral-communiste apparaisse à plusieurs reprises, mais il me semble essentiel de mieux le cadré encore, par un encadré par exemple. D'autre part, le terme a été assez peu utilisé, mis à part sur technikart en 2004... voiri ici http://www.lrb.co.uk/v28/n07/slavoj-zizek/nobody-has-to-be-vile

Donc à discuter aussi, et surtout si on le garde, c'est bien d'envisager de mettre les 10 principes de l'article

"1. You shall give everything away free (free access, no copyright); just charge for the additional services, which will make you rich.

2. You shall change the world, not just sell things.

Etc...

"

MAIS : cela devient très compliqué, car leurs 10 commandements sont géniaux, mais 1. Les libéraux communistes listés (Gates...) ne se réclament ps de ce mouvement, donc ce mouvement n'existe pas 2. Les libéraux communistes sont très divers dans leurs pratiques, certains abusent comme gates, d'autres se dédient avec éthique radicalement ancrée dans le bien commun comme RMS (Stallman). Donc c'est peut-être à supprimé, cette notion de libéral communisme...


ENFIN, il faut préciser que le terme libéral-communisme est aussi utilisé par d'autres groupes de chercheurs académiques pour désigner une vision politique sans aucun lien avec le numérique, donc il y a probablement trop de risques de confusion pour laisser le terme ne serait-ce qu'un fois dans cet ouvrage... tant pis, à sucrer (toute référence à libéral-communisme) Pryska (discussion) 6 décembre 2012 à 18:00 (CET)


toujours bien angler éco --Pryska (discussion) 22 novembre 2012 à 11:44 (CET)

http://www.lafauteadiderot.net/La-richesse-revolutionnaire [22/11/2012 12:07:15] Théo Bondolfi: Le développement générique de la richesse financière sur la planète, et de ses abus, ont conduit les décideurs a ne prendre en compte que la dimension économique de l’activité humaine et sa monétarisation, ce que l’Inde traditionnelle désigne comme le règne de la caste des commerçants. En ignorant les activités non monétaires, ils ont omis une part essentielle de la richesse produite par les êtres humains, les connaissances. Les activités qui ne se transforment pas en monnaies comptables sont multiples, créatrices, insaisissables et particulièrement révolutionnaires nous disent Heidi et Alvin Toffler. [22/11/2012 12:07:41] Théo Bondolfi: Face à cette mutation, à ce saut sociétal, les gouvernements s’avèrent pauvres, intellectuellement et stratégiquement, peu visionnaires, peu créatifs. L’actualité de la crise est une démonstration éclatante de leurs faiblesses. C’est donc du terrain, et notamment du terrain virtuel, grand agitateur d’intelligences et de connaissances, que peuvent apparaître de nouvelles lignes révolutionnaires au milieu des nouvelles tectoniques géopolotiques. Heidi et Alvin Toffler proposent le concept d’économie « prosommatrice » caractérisée par cette activité ni rémunérée ni quantifiée, non altruiste cependant, mais génératrice de tous les changements. La richesse révolutionnaire se traduit aujourd’hui par un magma peu lisible, envahissant, angoissant parfois, dans lequel les solutions pour une autre humanité, qui « briserait le noyau de la pauvreté » ne sont qu’esquissées. Heidi et Alvin Toffler avertissent : « Ce qui a bien marché, ne marchera pas. ». L’humanité qui vient, serait donc une humanité d’inventeurs, de poètes, et notamment de poètes technologiques, ou ne serait pas ? --Pryska (discussion) 23 novembre 2012 à 17:34 (CET)


Sam => Je n'aime pas ce titre caricatural et enfantin : Bons et méchants.


Suggestions Sev

  • langage très oral (phrases trop courtes ou trop longues selon les cas, abu des conjonction en début de phrase, répétitions, etc.)
  • fautes de français, de frappe et d'orthographe
  • introduction un peu brutale
  • manque d'intertitres, qui rendent la lecture plus agréable, claire et aérée
  • quel rapport avec les drogues (avant-dernier §)?
  • trop d'expression métaphoriques à la fin
  • peut-être expliciter plus en quoi Google, Microsoft, etc dont des « esclavagistes », et expliquer ce que serait l'équivalent des pirates aujourd’hui, et en quoi ils sont différents des libérateurs de l'esprit tels que GNU, la GPL, etc.
  • connexe: fonctions ou produits (?)

Version en ligne[modifier]

Commentaires:

Demander à Raphaël de rajouter des éléments à propos des points communs évoqués dans cette phrase: «  Elle est appliquée par les fondateurs symboles de grandes entreprises comme Bill Gates de Microsoft, Steve Jobs d'Apple, Larry Ellison d'Oracle, Amazon, Yahoo et bien-entendu Google. Ils sont rejoints par des magnats des médias comme Berlusconi, Dassault, Mastoc. Leurs points communs: les stratégies commerciales basées sur le rachat ou la destruction des concurrences, la surveillance, et souvent les amendes des autorités de lutte contre le monopole et autre méthode de concurrence déloyale. »

Ajouter des exemples de programmes similaires mais privatisés VS libres comme Google VS Scroogle Texte gras

Il manque les sources --Nora 13 septembre 2011 à 07:54 (UTC)