Du citoyen au netoyen

De Wiki livre Netizenship

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Contribution: voter sur Wikipedia ou pour élire son gouvernement local (trouver liste des comportement citoyen de base) Conditionner ses actes/ empreinte écologique... Mobilisation: manifester devant centrale nucléaire, publier un classement des positions face au nucléaires des élus... Epetition, appel au boycott... Créer un observatoire...

Les personnes actives passent autant de temps à communiquer derrière un écran, il faut donc poser des principes de comportement.

Internet permet une amplification des actes citoyens et l'émergence d'une nouvelle culture citoyenne. (Lien avec les nouveaux paradigmes)

Science sans conscience n'est que ruine de l'âme disait Rabelais. Tableau des comportements irrespectueux de l'homme et de la nature sur Internet ex: faire une recherche avec Google/Scroogle ou un outil de blocage des pubs.

Parler du lien entre netizenship / civisme

Générique

Après une lente éclosion, puis une maturation difficile, la notion de citoyenneté semble aujourd'hui bien établie. Chacun est citoyen d'un état géographiquement délimité, avec des droits et des devoirs. Le mot est même très en vogue depuis quelques années : "action citoyennes", "comportements citoyens." Ces expressions reviennent de plus en plus souvent dans les discours politiques et les collectivités [www.escp-eap.net/conferences/marketing/pdf/canel.pdf] C'est qu'être citoyen est devenu aujourd'hui si commun que certains en viennent à oublier les devoirs élémentaires qu'engage une citoyenneté épanouie. Dans les démocraties modernes, tout le monde -ou presque [1]- a le droit de vote. C'est un fait acquis. Est-ce pour cette raison que les taux de participation des électeurs sont toujours plus faibles [2] ? L'intérêt que revêt la citoyenneté est-il soluble dans sa banalisation ? La citoyenneté se déploie dans l'action de chacun pour la communauté.

Dominant

L'attrait déclinant pour la citoyenneté pourrait s'expliquer par une crise de la représentation [3] impliquant une crise plus globale de confiance dans les institutions, mises à mal par divers scandales spoliant la grande majorité des citoyens. Ces dix dernières années, un type nouveau de citoyenneté s'est développé, sur Internet. Il peut être considéré comme le prolongement, voire l'approfondissement de la citoyenneté classique. En effet, certains utilisacteurs des outils numériques ont compris le potentiel qu'ils avaient pour engager des actions citoyennes à grandes échelle et rapidement. Toutefois, cette culture de la citoyenneté numérique, que l'on pourrait appeler netoyenneté, se fait elle aussi par étapes. Le grand public n'a pas encore pris toute la mesure de l'amplification que les réseaux pouvaient amener à la citoyenneté. Certains sont encore dans une phase de fascination ludique et enfantine devant des objets d'une grande complexité technologique. Mais ils n'exploitent pas leurs potentialités. Or, pour devenir un netoyen, il ne faut pas seulement se poser en utilisateurs passif d'outils numériques mais en contributeur. Internet est devenu un rouage incontournable de nos sociétés. La citoyenneté numérique s'impose donc au citoyen responsable. Comment ?

Citoyen

Faire tableau en trois parties. Première colonne: le thème- deuxième colonne: l'action citoyenne; troisième colonne: l'action netoyenne. Par exemple: Ecologie=>Trier ses déchets=>ne pas envoyer de pièce jointes volumineuses... Autre exemple: Respect des travailleurs=>acheter des marchandises issues du commerce équitable=>acheter des équipement électroniques dont les concepteurs respectent les droits des travailleurs...

La citoyenneté numérique a pour but d'affirmer et de mettre en œuvre le droit des générations futures à accéder à des conditions de vie décentes et convenables. Elle agit pour le bien commun. Elle est issue d'une prise de conscience: celle que chacun est acteur de la société et que son action peut être soit bénéfique, soit destructrice. La citoyenneté numérique fait appel à la responsabilisation de chacun. Le partage des connaissances, la mutualisation des moyens grâce au pouvoir amplificateur des outils numériques permet le développement rapide et puissant d'enjeux démocratiques redynamisés.

Citations diverses (en option)

La Déclaration d’indépendance du Cyberespace fait fausse route lorsqu’elle construit un espace politique unifié en miroir inversé de cet autre, dominé par « les géants fatigués de chair et d’acier ». Il faut bien plutôt se représenter le cyberespace comme un espace fragmenté, en mille-feuilles, où se juxtaposent des centaines de millions d’espaces autonomes, auto-régulés, et aussi en interaction les uns avec les autres. Des listes de discussion aux forums, des blogs aux wikis, des [BBS] aux réseaux sociaux, de Usenet au Web 2.0, des jeux massivement multijoueurs aux univers virtuels, c’est la même histoire qui se joue, selon des modalités différentes : c’est la construction d’espaces politiques locaux et interconnectés, c’est l’apprentissage invisible pour des centaines de millions de gens d’une sociabilité de proximité et d’une citoyenneté à taille humaine. http://blog.homo-numericus.net/article10639.html

Encart-s (en option)

Le saviez-vous ? Le sociologue Nicolas Auray a montré, à propos de la communauté des développeurs et des utilisateurs de la distribution Linux Debian, que celle-ci devait s’appréhender comme une cité politique ayant adopté ses propres lois.

Source : http://blog.homo-numericus.net/article10639.html

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