Pourquoi le projet Ecopol va être un succès? : Différence entre versions

De Wiki livre Netizenship
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Parce qu'il réunit des spécialistes en écologie dite profonde, qui se reconnaissent dans les pièces du puzzle, qui sont décrites dans ce livre. Les spécialistes du logiciel libre se reconnaitront parce qu'ils savent que la qualité et la cohérence d'une démarche de gouvernance numérique/digitale sont basées sur le fait de parler des logiciels libres et non pas d'«open source», qui sont sur une culture du copyleft profondément orientée «hiérarchie de compétence et non hiérarchie de contribution, avec des outils de «scoring» de dictature bienveillante et de modération associée à un système de vote de type condorsay pour les décisions essentielles et les élections. Au même titre, les spécialistes de l'agriculture, de l'écologie profonde, savent qu'il est important d'aborder l'agriculture, l'élevage et le respect de l'environnement sous l'angle biodynamique et thermaculturel. Et non pas uniquement biologique (que l'on dit «organic» en anglais). Au même titre, les bioconstructeurs de l'écologie profonde, qui, pour une bonne part, se nomment anarchitectes, savent qu'il est important d'aborder l'angle, non pas seulement des choix de matériaux, mais aussi de leurs liens avec les plantes vivantes, de la vision urbanistique globale et de l'aménagement des lieux de vie pour assurer une dynamique sociale enrichissante, ainsi que des flux de matière (traitement de l'eau, gestion énergétique...) particulièrement cohérents afin de traiter l'ensemble des questions de la construction écologique sous un angle profond et non pas seulement la dimension de l'économie d'énergie.
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Réunir différents spécialistes, dans différents domaines est un élément essentiel de la réussite d'un projet, mais ce n'est pas tout. Pour un projet global, tel que Ecopol, il est important d'avoir une vision globale. Une fois cette vision établie, il est nécessaire de posséder un outil en accord avec cette vision et confrontant les points de vue des spécialistes. Ecopol réunit toutes ces conditions, c'est ce qui assurera son succés.
  
Dans tous les autres domaines, éducatif, juridique, communicationnel, les mêmes questions se posent. C'est du fait qu'il existe des outils d'échange et d'argumentation sur les meilleurs pratiques, qui seront au cœur de la démarche d'Ecopol et offriront une archive vivante permanente, que nous pensons pouvoir réunir un ensemble de spécialistes motivés qui mettront le meilleur d'eux-mêmes pour donner vie à ce lieu et cette dynamique communautaire.
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La vision globale d'Ecopol a été établie de façon à ce que:
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*Les spécialistes en écologie dite profonde, se reconnaitront dans les valeurs pronaient dans ce projet et donc dans ce livre.
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*Les spécialistes du logiciel libre seront en accord avec le mode de gouvernance.
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La qualité et la cohérence de ce type d'organisation du pouvoir est assurée par le respect des valeurs de la philosophie du libre. Plus que de parler d' « open source », évoquer le copyleft renseigne sur l'orientation choisie. Ce mode de fonctionnement est basé sur la «hiérarchie de compétences » et non sur la « hiérarchie de contributions ». (ajouter exemples). La prise de décisions et les élections feront appel aux  outils de «scoring» de dictature bienveillante et de modération, ainsi qu'à un système de vote de type condorsay.
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*Les spécialistes de l'agriculture apprécieront l'approche biodynamique et thermaculturelle, et non pas seulement biologique (que l'on dit «organic» en anglais). 
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*Les bioconstructeurs qui se nomment anarchitectes, salueront les choix réalisés en matière de construction écologique.
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Au delà du choix de matériaux, l'accent a été mis sur
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**leurs liens avec les plantes vivantes,
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**la vision urbanistique globale,
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**l'aménagement des lieux de vie pour assurer une dynamique sociale enrichissante,
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**les flux de matière (traitement de l'eau, gestion énergétique...)
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cette approche permet de voir plus loin que la simple économie d'énergie.
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Dans tous les autres domaines, éducatif, juridique, communicationnel, le même type de questions se posent et sera traité.  
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L'existence d'outils informatiques et organisationnels d'échange et d'argumentation afin de sélectionner les meilleures pratiques, offrira une archive vivante permanente. Cette logique de dialogue, de prise en considération de tous les avis, ainsi que la possibilité de consulter à n'importe quel moment et depuis n'importe où favoriseront l'amélioration continue.
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Ainsi, il sera possible d'impliquer en permanence de nouveaux spécialistes motivés qui mettront le meilleur d'eux-mêmes pour donner vie à ce lieu et cette dynamique communautaire. De cette manière, les savoirs spécifiques seront associés aux savoirs locaux de façon à toujours opter pour la meilleure solution.

Version du 5 février 2011 à 17:03

Réunir différents spécialistes, dans différents domaines est un élément essentiel de la réussite d'un projet, mais ce n'est pas tout. Pour un projet global, tel que Ecopol, il est important d'avoir une vision globale. Une fois cette vision établie, il est nécessaire de posséder un outil en accord avec cette vision et confrontant les points de vue des spécialistes. Ecopol réunit toutes ces conditions, c'est ce qui assurera son succés.

La vision globale d'Ecopol a été établie de façon à ce que:

  • Les spécialistes en écologie dite profonde, se reconnaitront dans les valeurs pronaient dans ce projet et donc dans ce livre.
  • Les spécialistes du logiciel libre seront en accord avec le mode de gouvernance.

La qualité et la cohérence de ce type d'organisation du pouvoir est assurée par le respect des valeurs de la philosophie du libre. Plus que de parler d' « open source », évoquer le copyleft renseigne sur l'orientation choisie. Ce mode de fonctionnement est basé sur la «hiérarchie de compétences » et non sur la « hiérarchie de contributions ». (ajouter exemples). La prise de décisions et les élections feront appel aux outils de «scoring» de dictature bienveillante et de modération, ainsi qu'à un système de vote de type condorsay.

  • Les spécialistes de l'agriculture apprécieront l'approche biodynamique et thermaculturelle, et non pas seulement biologique (que l'on dit «organic» en anglais).
  • Les bioconstructeurs qui se nomment anarchitectes, salueront les choix réalisés en matière de construction écologique.

Au delà du choix de matériaux, l'accent a été mis sur

    • leurs liens avec les plantes vivantes,
    • la vision urbanistique globale,
    • l'aménagement des lieux de vie pour assurer une dynamique sociale enrichissante,
    • les flux de matière (traitement de l'eau, gestion énergétique...)

cette approche permet de voir plus loin que la simple économie d'énergie.

Dans tous les autres domaines, éducatif, juridique, communicationnel, le même type de questions se posent et sera traité.

L'existence d'outils informatiques et organisationnels d'échange et d'argumentation afin de sélectionner les meilleures pratiques, offrira une archive vivante permanente. Cette logique de dialogue, de prise en considération de tous les avis, ainsi que la possibilité de consulter à n'importe quel moment et depuis n'importe où favoriseront l'amélioration continue. Ainsi, il sera possible d'impliquer en permanence de nouveaux spécialistes motivés qui mettront le meilleur d'eux-mêmes pour donner vie à ce lieu et cette dynamique communautaire. De cette manière, les savoirs spécifiques seront associés aux savoirs locaux de façon à toujours opter pour la meilleure solution.