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De Wiki livre Netizenship
(Page créée avec « Le libre a déjà gagné : - le top 10 de la culzure libre controle unne part significative et croissante des ressources informationnelles - la majorité des pages web sont… »)
 
(ajout des articles copyleft à l'oeuvre/partagez vos oeuvres et Libérez les contenus)
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Ce qu'il y a de passionnant et d'excitant avec internet, c'est que la nature même des propriétés socio-techniques du numérique, donc la décentralisation, la symétrie, etc., fait que, même si on peut être désabusé, choqué, attristé par les décisions des gouvernements (et) ou par les décisions des dirigeants de groupes, que ce soit le gouvernement, (ou) l'entreprise, (ou) l'ONG, (ou) la région, (ou) la commune, quelle que soit la décision (qu'ils prennent) prise, elle aura peu d'impact sur internet, car internet est régi par d'autres lois; les fameuses propriétés socio-techniques. En conséquence, quoi qu'il en soit, l'individu a plus de possibilités de faire entendre sa voix en utilisant internet que sans l'utiliser. Et à ce titre, internet est fondamentalement porteur d'espoir en matière de justice sociale, d'équité, de durabilité et donc de reconnaissance de la qualité et de la quantité des contributions de chacun.
 
Ce qu'il y a de passionnant et d'excitant avec internet, c'est que la nature même des propriétés socio-techniques du numérique, donc la décentralisation, la symétrie, etc., fait que, même si on peut être désabusé, choqué, attristé par les décisions des gouvernements (et) ou par les décisions des dirigeants de groupes, que ce soit le gouvernement, (ou) l'entreprise, (ou) l'ONG, (ou) la région, (ou) la commune, quelle que soit la décision (qu'ils prennent) prise, elle aura peu d'impact sur internet, car internet est régi par d'autres lois; les fameuses propriétés socio-techniques. En conséquence, quoi qu'il en soit, l'individu a plus de possibilités de faire entendre sa voix en utilisant internet que sans l'utiliser. Et à ce titre, internet est fondamentalement porteur d'espoir en matière de justice sociale, d'équité, de durabilité et donc de reconnaissance de la qualité et de la quantité des contributions de chacun.
 
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== Copyleft à l'oeuvre / partagez vos oeuvres ==
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Vous rédigez un mode d'emploi? Vous donnez votre opinion? Vous créez une œuvre d'art.
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C'est l'occasion de partager votre œuvre, d'éviter de la brider inutilement, de la sortir du monde spéculatif, qui ne profite qu'à une minorité.
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Vous pouvez la partager soit immédiatement (dans le cas des œuvres fonctionnelles, voir tableau ci-dessous), soit après quelques années dans les autres cas. Cinq ans est une bonne mesure: l'auteur a abandonné ses droits aux producteurs. Ensemble, ils vont en jouir de manière exclusive pendant maximum cinq ans. Ensuite ils peuvent passer l'œuvre sous licence libre. C'est un acte citoyen, responsable, autant que refuser l'esclavage, trier ses déchets ou encourager le vote des femmes. Concrètement, le tableau ci-dessous décrit les options de libération des savoirs qui sont conseillées.
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{|class= "wikitable"
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! Type d'œuvres
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! But
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! Exemples
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! Licences conseillées dans une optique responsable et citoyenne
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| Œuvres '''fonctionnelles'''
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| Utiliser
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| Modes d'emploi, recettes, logiciels...
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| Licence Libre, avec les 4 libertés fondamentales : lire, utiliser, modifier, redistribuer.
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| Œuvres d''''opinion''' et témoignages
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| Informer
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| Actualité dans un journal, communiqué de presse manifeste, résultat d'enquête, actualité
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| Au minimum licence autorisant le partage (redistribuer)
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| Œuvres d''''art'''
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| Mettre en émoi, toucher
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| Musique, film, ...
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| Copies exactes ou copie modifiables, au minimum redistribution.
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|}
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Pour découvrir le débat sur les licences libres ou privatrices, vous pouvez aussi aller sur le wiki de ce livre, et voir les liens sur les débats et forums existants, avec des débats contradictoires, des enquêtes de diverses sources, bref, tout ce qui peut vous donner une idée plus précise des options et avis possibles.
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== Libérez les contenus ==
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Cet article a pour but d’expliquer comment libérer un contenu.
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Nous entrons ici dans le saint des saints des questions de communication, car il s’agit des questions de droits d’accès aux contenus: les questions de droits d’auteurs d’une part et de licences d’exploitation d’autre part.
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Le contexte, les enjeux :
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Vous voulez lire un article paru la semaine dernière dans un quotidien, vous allez sur leur site Web, vous trouvez l’article mais, pour le lire et l’imprimer, vous devez payer. Payer un abonnement aux archives, payer pour un accès à l’article à la pièce, mais payer. Vous voulez photocopier un mode d’emploi sur « comment réagir en cas de crise de paludisme », mais vous ne le pouvez pas. Il y a un copyright et c’est donc interdit par la loi.
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Il existe des licences qui peuvent régir les contenus différemment. Ce sont les licences libres. Certains journaux adoptent les licences libres. Elles découlent d'un mouvement tellement développé et apprécié qu’il en existe un nombre incroyable. De la plus connue, la GPL (les 4 libertés fondamentales) à la plus folle, la PizzaGPL (tu me files une pizza je te file mon contenu).
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L’accès libre et gratuit aux informations serait si sympa, mais comment assurer la production d’informations (fonctionnelles, factuelles et créatives) de qualité si tout est gratuit ?
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1. En ne dopant plus leur production
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2. Pour les contenus d’utilité publique (contenu à tendance principalement fonctionnelle, y compris avec fonction d’éveil des consciences) en assurant que leurs coûts de productions sont couverts dès le début et définitivement/totalement par des fonds publics,
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3. Pour les contenus créatifs sans financements publics, en définissant une valeur de production, qui, lorsqu’elle aura été couverte, permettra au contenu d’être libéré.
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4. En assurant leur mise à jour dans une dynamique participative.
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Comment libérer un contenu produit sans financement public ?
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Exemple avec un article (ou une musique). Vous allez sur le Web et vous payez pour l’article . Le lecteur suivant l’achète aussi, et ainsi de suite, chacun paie, cela n’a pas de fin, c’est donc une vente éternelle, et un bénéfice maximal. Alors quoi ? Alors il faudrait que le contenu ne soit pas éternellement vendu. Si le producteur de l’article (ou du contenu) mentionne le coût de production (par exemple 300 euros pour un article), alors dès que les acheteurs ont payé un total de 300 euros, l’article devient libre, tous peuvent y accéder, et l’auteur reste mentionné mais personne ne doit plus payer obligatoirement pour accéder à l’article. Le nec plus ultra serait une fonction mentionnant la trace de tous les contributeurs financiers. Ainsi, on pourrait lire : « cet article (ou cette musique, ou ce livre…) a été libéré grâce à l’investissement des contributeurs suivants : george 3 €, nicole 3€, etc.
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=== Sources et notes ===
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http://www.libroscope.org/Des-contenus-libres-pour-les

Version du 25 août 2011 à 16:44

Le libre a déjà gagné :

- le top 10 de la culzure libre controle unne part significative et croissante des ressources informationnelles

- la majorité des pages web sont gènérées par des serveurs sous licence libre

- le libre avance lentement, différement, mais piano sano lontano




Dites non au drogues

Pour donner un exemple concret, si les états autorisaient voire encourageaient les services nationaux de communications à homologuer des systèmes de téléphonie mobile citoyennes, 
chez les propriété socio-techniques du numériques imposent la traçabilité complète des informations et une dynamique d'intelligence collective le très faible niveau de conscience des enjeux de la culture libre pour une société libre chez les consommateurs d'outils numériques a permis que la le ver soit dans la pomme.


actions concrètes :

- refuser la publicité en utilisant firefox et en installant le plug-in addblocker

- refuser les logiciels qui nient la liberté de choix

- sauver vos fichiers en format ouvert (odt, odp...) par défaut etc...




Passer à l'acte

quelques actes de citoyenneté numérique de base

1) installer des logiciels libres sur votre ordinateur

2) sauver vos fichiers dans des formats ouverts : .odt pour les traitement de texte

3) utiliser des termes politiquement cohérent : "site web" et non pas "site internet", pour éviter les confusions GNU/Linux et non pas Linux pour montrer que c'est un choix de société


4) Eviter l'anonymat et le pseudonymat si ce n'est ps justifié

5) ne faites plus de publicité aux produiots qui vous privent de la liberté d'accès aux savoirs : ne dites pas Powerpoint, dites PREAO, ne dites pas document WORD, dites document texte.

6) lire et respecter la netiquette

7) ne pas transférer les chaines et autres pourriels

8) créer un compte sur wikipedia et contribuez !

9) éviter de réinventer la roue, apprenez vous renseigner naturellement sur le web

10) etc, à compléter par tous



Encart: Maximum respect

  1. Un mineur poste sur facebook des images d'un candélabre qu'il a cassé
  2. une mineure poste sur un site web des images d'elle en train et boire de l'alcool et informant qu'elle est "bourrée", alors qu'elle n'a pas 16 ans

En recentrant le débat sur le respect de soi et des autres.

C'est très dur et parfois cela ne donne aucune impression de résultat à court terme, surtout en une heure et avec des adolescents. Mais c'est un moyen durable, largement utilisé dans toutes les approches participatives, qui sont, à l'image d'Internet, les approches qui sont le plus appréciées pour communiquer.

Encart: C'est votre première contribution?

Vous vous apprêtez à faire des corrections, des compléments, conseils essentiels à lire avant de se lancer: Dans la culture web collaborative, toutes les contributions sont les bienvenues pour autant qu'elles soient pertinentes. Il est bien entendu difficile de s'entendre sur le terme « pertinent », pourtant il existe une solution simple: avant de proposer un complément, prendre le temps nécessaire pour bien lire les politiques existantes. C'est-à-dire:

  • les principes rédactionnels
  • la méthode
  • les critères qualités
  • etc

Si vous ne connaissez pas les wiki, allez voir comme ils fonctionnent, ici là et là, vous verrez que si Wikipedia fonctionne aussi bien et que les wiki fonctionnent aussi bien c'est qu'il y a une autodiscipline basée sur le respect de règles qui sont aussi disponibles qu'évolutives, tout le monde peut contribuer à les faire évoluer.


encart quizz quel est votre degré d'engagement citoyen


Version en ligne

Nous vous invitons à:

Lire et découvrir la nétiquette générale et spécifique.




Devenir le média

Reste à faire

Théo

Titres et intros alternatives

Non disponible pour le moment

Corps de l'article

Pour devenir le média, pour ne plus subir l'information, il faut fournir aux citoyens éveillés des outils issus des 4 piliers : des outils pour se profiler, pour partager son savoir, pour développer de bonnes méthodologies d’E-communication et enfin bien sûr des outils informatiques (matériels, logiciels réseaux). Pas uniquement des ordinateurs et des cours pour utiliser des programmes informatiques.

(tiré de Mais où est passé la fracture Numérique ? dans devmedia v 0_7-1 => attention aux redondances avec la suite)

Quizz

Agir. Comment publier un document sur le web ?

Question : Dans le cadre d'une formation, des camarades et moi avons produit en groupe un document d'une centaine de pages. Sachant que l'intérêt de ce travail dépasse le cadre où il a été produit, mes collègues et moi-même souhaitons le publier sur le Web pour toucher un large public. Quelles stratégies sont adéquates ? (plusieurs bonnes réponses)

A) L'envoyer par e-mail sous forme de document Word à toutes les personnes que l'on connaît, en leur demandant de l'envoyer à leurs amis

B) Mettre le document à disposition sur le site web préexistant de l'un des auteurs, en format texte, RTF, HTML et/ou PDF

C) Plutôt que de le publier sur le web, il vaut mieux chercher un éditeur pour une publication papier

D) Ça ne sert à rien car personne ne le lira, donc j'interdis à mes camarades de le publier sur le web

E) Chercher un site spécialisé qui pourrait être intéressé à mettre à disposition notre document, afin de profiter de leur public existant.

F) Publier le document sur un moteur de recherche populaire afin que le plus grand nombre puissent le trouver

G) JOKER! Je ne connais pas suffisamment le sujet pour répondre à la question.


Analyser. Évaluation critique des contenus sur Internet. Question : Les médias traditionnels (presse écrite, livres, télévision, radio...) utilisent des processus d'évaluation souvent sévères, validés par des professionnels de l'édition, avant de publier quoi que ce soit. Pour un journal ou un magazine, par exemple, c'est le rédacteur en chef qui est responsable en dernier lieu de la qualité et de la pertinence du contenu publié. Sur le web, tout change : les auteurs accèdent directement au support de publication, sans intermédiaire. Il faut donc évaluer avec soin la valeur des ressources trouvées sur le web. Quelles sont les critères principaux qui vont m'aider à faire l'évaluation e d'une ressource web ? (plusieurs bonnes réponses)

A) Taille de la ressource disponible : nombre de pages de texte, nombre d'images, nombre de Mo de données

B) Date de publication ou de dernière mise à jour connue

C) Réputation de l'auteur, d'après les autres traces de ses productions que l'on peut découvrir en ligne.

D) Le type de site : site officiel plutôt que blog ou forum

E) Le fait d'avoir reçu spontanément les coordonnées de la ressource Internet par e-mail de la part d'une adresse ayant l'air officielle

F) L'usage des majuscules qui signifie que les mots ont plus de poids.

G) Le respect des standards W3C indiqué par le logo présent sur le site.

H) Liens entrants en provenance d'autres sites ou commentaires laissés par des lecteurs

I) Références, citations et liens permettant de se renseigner sur le sujet et de contre-vérifier l'information fournie

J) La présence de nombreux commentaires, si la ressource est intégrée à un site autorisant l'interaction avec les lecteurs.

K) JOKER! Je ne connais pas suffisamment le sujet pour répondre à la question.


Générique

Non disponible pour le moment

Dominant

Non disponible pour le moment

Citoyen

Non disponible pour le moment

Citations diverses (en option)

"Ne hais pas les médias, deviens les médias." Jello Biafra (Slogan d'Indymedia)

Encart-s (en option)

Non disponible pour le moment

Iconographie (en option)

http://www.digitalmixmarketing.com/wp-content/uploads/2008/10/blogmedium-social.jpg

Sources (en option)

http://www.addictif-zine.com/accueil/item/1464-jello-biafra-interview

Autres documents pour usages complémentaires (en option)

[source audio théo]

Ce qu'il y a de passionnant et d'excitant avec internet, c'est que la nature même des propriétés socio-techniques du numérique, donc la décentralisation, la symétrie, etc., fait que, même si on peut être désabusé, choqué, attristé par les décisions des gouvernements (et) ou par les décisions des dirigeants de groupes, que ce soit le gouvernement, (ou) l'entreprise, (ou) l'ONG, (ou) la région, (ou) la commune, quelle que soit la décision (qu'ils prennent) prise, elle aura peu d'impact sur internet, car internet est régi par d'autres lois; les fameuses propriétés socio-techniques. En conséquence, quoi qu'il en soit, l'individu a plus de possibilités de faire entendre sa voix en utilisant internet que sans l'utiliser. Et à ce titre, internet est fondamentalement porteur d'espoir en matière de justice sociale, d'équité, de durabilité et donc de reconnaissance de la qualité et de la quantité des contributions de chacun.


Copyleft à l'oeuvre / partagez vos oeuvres

Vous rédigez un mode d'emploi? Vous donnez votre opinion? Vous créez une œuvre d'art.

C'est l'occasion de partager votre œuvre, d'éviter de la brider inutilement, de la sortir du monde spéculatif, qui ne profite qu'à une minorité.

Vous pouvez la partager soit immédiatement (dans le cas des œuvres fonctionnelles, voir tableau ci-dessous), soit après quelques années dans les autres cas. Cinq ans est une bonne mesure: l'auteur a abandonné ses droits aux producteurs. Ensemble, ils vont en jouir de manière exclusive pendant maximum cinq ans. Ensuite ils peuvent passer l'œuvre sous licence libre. C'est un acte citoyen, responsable, autant que refuser l'esclavage, trier ses déchets ou encourager le vote des femmes. Concrètement, le tableau ci-dessous décrit les options de libération des savoirs qui sont conseillées.

Type d'œuvres But Exemples Licences conseillées dans une optique responsable et citoyenne
Œuvres fonctionnelles Utiliser Modes d'emploi, recettes, logiciels... Licence Libre, avec les 4 libertés fondamentales : lire, utiliser, modifier, redistribuer.
Œuvres d'opinion et témoignages Informer Actualité dans un journal, communiqué de presse manifeste, résultat d'enquête, actualité Au minimum licence autorisant le partage (redistribuer)
Œuvres d'art Mettre en émoi, toucher Musique, film, ... Copies exactes ou copie modifiables, au minimum redistribution.

Pour découvrir le débat sur les licences libres ou privatrices, vous pouvez aussi aller sur le wiki de ce livre, et voir les liens sur les débats et forums existants, avec des débats contradictoires, des enquêtes de diverses sources, bref, tout ce qui peut vous donner une idée plus précise des options et avis possibles.

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Libérez les contenus

Cet article a pour but d’expliquer comment libérer un contenu.

Nous entrons ici dans le saint des saints des questions de communication, car il s’agit des questions de droits d’accès aux contenus: les questions de droits d’auteurs d’une part et de licences d’exploitation d’autre part.

Le contexte, les enjeux :

Vous voulez lire un article paru la semaine dernière dans un quotidien, vous allez sur leur site Web, vous trouvez l’article mais, pour le lire et l’imprimer, vous devez payer. Payer un abonnement aux archives, payer pour un accès à l’article à la pièce, mais payer. Vous voulez photocopier un mode d’emploi sur « comment réagir en cas de crise de paludisme », mais vous ne le pouvez pas. Il y a un copyright et c’est donc interdit par la loi. 
Il existe des licences qui peuvent régir les contenus différemment. Ce sont les licences libres. Certains journaux adoptent les licences libres. Elles découlent d'un mouvement tellement développé et apprécié qu’il en existe un nombre incroyable. De la plus connue, la GPL (les 4 libertés fondamentales) à la plus folle, la PizzaGPL (tu me files une pizza je te file mon contenu).

L’accès libre et gratuit aux informations serait si sympa, mais comment assurer la production d’informations (fonctionnelles, factuelles et créatives) de qualité si tout est gratuit ?

1. En ne dopant plus leur production

2. Pour les contenus d’utilité publique (contenu à tendance principalement fonctionnelle, y compris avec fonction d’éveil des consciences) en assurant que leurs coûts de productions sont couverts dès le début et définitivement/totalement par des fonds publics,

3. Pour les contenus créatifs sans financements publics, en définissant une valeur de production, qui, lorsqu’elle aura été couverte, permettra au contenu d’être libéré.

4. En assurant leur mise à jour dans une dynamique participative.

Comment libérer un contenu produit sans financement public ?

Exemple avec un article (ou une musique). Vous allez sur le Web et vous payez pour l’article . Le lecteur suivant l’achète aussi, et ainsi de suite, chacun paie, cela n’a pas de fin, c’est donc une vente éternelle, et un bénéfice maximal. Alors quoi ? Alors il faudrait que le contenu ne soit pas éternellement vendu. Si le producteur de l’article (ou du contenu) mentionne le coût de production (par exemple 300 euros pour un article), alors dès que les acheteurs ont payé un total de 300 euros, l’article devient libre, tous peuvent y accéder, et l’auteur reste mentionné mais personne ne doit plus payer obligatoirement pour accéder à l’article. Le nec plus ultra serait une fonction mentionnant la trace de tous les contributeurs financiers. Ainsi, on pourrait lire : « cet article (ou cette musique, ou ce livre…) a été libéré grâce à l’investissement des contributeurs suivants : george 3 €, nicole 3€, etc.


Sources et notes

http://www.libroscope.org/Des-contenus-libres-pour-les