Discussion:Introduction aux enjeux du libre : Différence entre versions
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Version du 10 février 2013 à 08:33
Samedi 9 février
Proposition :
- On va d’abord poser un contexte de début d’histoire (paradis avec Adam et Eve), il n’y avait pas de choix. Puis, au fur et à mesure, les gens se sont mis à avoir des idées créatives.
A la renaissance, il y a eu l’imprimerie, avec celle-ci les coûts de papier et les machines à faire fonctionner et à entretenir. Il était donc injuste que certaines personnes soient productrices et distributrices d’idées tandis que certaines les volaient et se contentaient d’en faire des copies.
Il a donc fallu instituer des systèmes pour reconnaître les auteurs. Les éditeurs se sont positionnés comme intermédiaires et ont donc verrouillé le marché.
- Ensuite, l’arrivée de l’informatique qui bouleverse tout.
Richard Stallman qui enchaîne avec son problème d’imprimante et la société Xerox, le lancement de la GPL.
Il y a donc tout un mouvement qui se développe ; mais il y a un schisme :
- certains pensent que ce qui est important c’est l’avantage économique et individuel
- tandis que d’autres sont pour la dimension éthique en priorité avec le mouvement Open
Déclinaison progressive hors du logiciel Open (il y a des entreprises IBM qui l’adopte, Wikipédia qui se lance).
Mais parallèlement à ce mouvement, il y a une résistance qui se fait par des grands groupes représentant ces anciens éditeurs, ce qui conduit à un choc.
Est-ce une tendance inéluctable ou bien est-ce un épiphénomène ?
- Ce passage peut être présenté sous une forme amusante, en s’appuyant sur ces imageries populaires (Michael Moore comme exemple)
Les « barbus » contre les « cravateux ».
- Aujourd’hui les technologies sont particulièrement puissantes, les risques sont particulièrement grands et les erreurs particulièrement fortes. Mais les effets bénéfiques sont particulièrement bénéfiques !
C’est vraiment le risque qui est plus grand.
Il n’y a pas de changement par essence de la situation de l’humanité.
C’est juste plus critique au sens, que ce sujet est plus tendu, à fleur de peau. Les enjeux sont donc plus forts.